Dans l’air qui luit et dans le vent qui passe, un fleuve plus épais qu’une grasse prairie. Un fleuve trembleur comme une flamme. Le Douro, plein d’ombre et de feux, de silence et de râles, perd son onde au vaste sein des mers. Où sont-ils, les flots que baise la lumière, sombrés dans les eaux noires? Et quelle âme revêtir sans étoiles ?